Modalités

Dates : jeudi 20, vendredi 21 et jeudi 27 juin 2024
Durée : 3 jours (21 heures)
Prérequis : expérience professionnelle dans le domaine du social, du sanitaire et du médico-social
Public : Équipe de professionnel·le·s souhaitant réfléchir sur leurs pratiques pour repérer les situations à risque
Prix : 945 € par participant·e

  • Clarifier les concepts de bientraitance et de maltraitance
  • Repérer le cadre juridique dans lequel s’inscrit la promotion de la bientraitance
  • Identifier les facteurs et conditions sources de maltraitance, repérer les types et formes de maltraitance et traiter les situations
  • Comprendre l’intérêt et identifier les leviers et possibilités d’une démarche collective et pluridisciplinaire pour favoriser la bientraitance
  • Analyse des pratiques professionnelles
    Lieu d’échange, de partage d’expériences et de mise en perspective théorique des pratiques. Il s’agit d’une démarche collective d’échanges et de confrontation des points de vue sur des situations problématiques en utilisant les situations professionnelles vécues par les participant·e·s et en cherchant à conceptualiser les pratiques pour permettre le transfert à d’autres situations.
  • Apports théoriques
    – La maltraitance : regard de société et représentations individuelles
    – De la théorie à la pratique : facteurs de risque de maltraitance, typologie, origine du silence, prévention et prise en charge
    – La maltraitance dans le cadre professionnel : qu’est-ce qu’une pratique maltraitante ? causes organisationnelles et psychologies. Comment gérer ce ressenti à la frontière entre bientraitance et maltraitance ?

Pédagogie interactive et réflexive avec des exposés, exercices et études de situations. Analyse des pratiques (approche inductive basée sur l’expérience).

Evaluation individuelle à l’entrée de la formation, à chaud et à distance, évaluation de la satisfaction. Cette formation constitue une action d’adaptation et de développement des compétences.
Elle donne lieu à la délivrance d’une attestation de participation.

  • Respecter les droits et libertés des personnes accueillies
  • Prévenir toute forme de violence
  • Développer une posture professionnelle et des savoir-être favorisant une démarche collective et pluridisciplinaire de bientraitance
🗣 Retours des stagiaires ayant suivi la formation

Évaluation globale de la formation
le 03 juin 2021 : 8,89/10 ;
le 15 juin 2021 : 8,22/10

Retours recueillis sur l’évaluation du stage en 2021. Liste non-exhaustive :

– La formatrice, les collègues, le groupe, le sujet

– Le détail de la formation sur les différents points de la bientraitance et maltraitance

– Les mises en pratique

– Le simulateur de vieillissement

– Les temps d’échange, remise en question, petits exercices

– La mise en situation avec les différents moyens de simulation pour se rendre mieux compte des différentes difficultés

– Le dialogue, l’écoute ; trouver une solution ; identifier les situations ;  prendre du recul

– Mise en situation de dépendance grâce au simulateur

– J’ai apprécié les échanges entre stagiaires concernant les cas réels rencontrés dans les différents services (gestion de l’agressivité)

– Mise en situation presque réelle afin de prendre conscience

– Pouvoir s’exprimer, partager. Pouvoir se mettre à la place de la personne âgée dépendante (mise en situation)

Retours recueillis sur l’évaluation du stage en 2021. Liste non-exhaustive :

–  Certaines choses considérées comme maltraitantes

– Quelle attitude adopter face à un patient

– Comment pouvoir gérer au mieux une situation avec la communication

– Nos limites entre bientraitance et maltraitance

– Différentes attitudes que l’on a peut-être et qui ne sont pas forcément bonnes

– Les limites à ne pas dépasser

– Les gestes anodins susceptibles de blesser le résident … un mot parfois

– Mettre à plat, de me mettre plus loin dans ma réflexion professionnelle

– [La] Manière dont il faut répondre

– La différence entre bientraitance et maltraitance, à partir de quel moment nous devenons maltraitants

– Notre ressenti n’est pas forcément celui du résident

– Grâce au simulateur [de vieillesse], on peut se mettre à la place du résident, comprendre ce qu’il ressent, être à l’écoute, [être] patient

– À me mettre à la place de certains résidents

– Être dans la peau d’un résident avec le matériel mis à notre disposition

– Me mettre à la place du résident afin de mieux comprendre

– Bientraitance/maltraitance [sont] étroitement liées. Le résident doit rester au cœur de nos actions

Préinscription

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